Oui bien sûr, bonjour Marco,
En physique lorsque l’on veut faire intervenir des niveaux de températures on est obligé de revenir à la température exprimée en °kelvin. En fait 20° Celcius, échelle de température prenant comme base la T° de solidification de l’eau et celle de l’ébullition à P atmosphérique standard ne permet pas ces calculs.
On doit donc revenir au zéro absolu (-273° par rapport à l'échelle Celcius). Le niveau 20° Celcius correspond donc à 273+20 en Kelvin.
Note : l’echelle Celcius a cependant l’immense intérêt, étant basée sur des T° de changement d’etat, d’avoir le même écart d’un degré à l’autre que l’échelle Kelvin.
J’ai fais ça simplement mais j’imagine que c’est compréhensible, sinon il faut bien sûr insister.
Le coefficient de correction atmosphérique est systématiquement employé en utilisation de bancs moteurs, en effet en mesures on ne maîtrise pas les conditions atmosphériques, il nous faut donc, chaque demi-journée, relever Patmo, T° et hygrométrie pour que les mesures puissent être comparables, et en appliquant bien sûr la formule de correction.
Ça explique assez simplement pourquoi les deux temps serrent plus facilement les matins frais et humides (plus pauvres).
Bons vols en Jabiru sur-alimentés.
Joël.